29 Janvier 2011
En CÔTE D'IVOIRE, lorsque le Générale GUEHI a confisqué le pouvoir avec la caution de l'armée, la volonté du peuple l'a emporté au bout de de deux jours d'affrontement entre cette population et l'armée.
En Tunisie, l'impopularité du Président de la République a conduit au départ de ce dernier, en moins d'une semaine. Mais en CÔTE D'IVOIRE où la communauté dite internationale et le Président de la CEI (hors délai) affirment que le peuple a voter Alassane OUATTARA (ADO) à plus de 54 %, on constate que ADO se trouve toujours confiné au Golf Hôtel. Pis quand ce dernier lance des opérations ville morte ou Pays mort, presque toute la CÔTE D'IVOIRE vaque à ses occupations comme si de rien n'était.
Ses militants en réalité minoritaires et constitués de véritables vandales sont obligés de casser les véhicules, s'attaquer physiquement à des personnes pour respecter le mot d'ordrede leur leader. Malgré ces actes qui portent at teinte aux droits de l'homme, les ivoiriens restent déterminés à servir leur pays et leur Président qu'ils ont élus (contrairement à la volonté de la communauté internationale) Laurent GBAGBO (LG).
Comment donc un leader qui se populaire et légitime, fasse appel à une armée étrangère pour des actions militaires. Alors qu'en 2000 face à l'armée nationale de CÔTE D'IVOIRE qui a ralliées la cause du Générale GUEHI, la même population sans un apport extérieur, a fait partir le Générale GUEHI.
Que les gens en quête de vérité comprennent que ADO ne représente rien dans ce Pays. Même au sein de parti politique le RDR, il représente la vraie dictature et dans sa totalité. Et que ADO ne faisant pas confiance à la sincérité de ses militants pour sa cause, a été obligé d'inciter et d'encourager la violence dans les zones CNO où la rébellion qui le soutient règne en maître. D'où l'annulation du vote dans ces zones.
Pourquoi le Conseil Constitutionnel n'a t'il pas préconisé une reprise des élections dans ces zones ?
L'une des raisons qui est toute simple : au premier tour, tout comme au deuxieme tour de ces mêmes élections, la CEI prétextant de violence dans certains Bureau de Votes en France a annulé les résultats de la France.