23 Janvier 2010
La déclaration signée la semaine dernière à Ouagadougou par le chef de la junte de la Guinée Dadis Camara et le chef d'État intérimaire Sekouba Konaté assisté par le Burkina Faso le Président Blaise Compaoré, a appelé «nonesense 'par le Premier Ministre nouvellement nommé du gouvernement de transition de la Guinée, Jean Marie Doré. Selon Dore, il n'est pas lié par les modalités de la transaction pour le gouvernement de transition qui comprend le blocage de son poste de président. Jean Marie Doré a été nommé Premier ministre par intérim du Chef de l'Etat, le général Sekouba Konate dans le cadre d'un accord conclu avec le Président Blaise Compaoré du Burkina Faso et la Guinée chef de la junte Dadis capitaine Moussa Camara.
L'accord stipule que tous les membres du gouvernement de transition et ceux de l'arrêt du Conseil militaire sont interdit de se présenter aux élections prévues pour Juin. Apparemment, le nouveau Premier ministre affirme qu'il a accepté de rien. Il dit que la proposition d'accord de Ouagadougou n'est pas un accord, c'est juste une proposition. Ces propositions ont été remis aux dirigeants de la société civile à la fois de la Guinée et la décision du Conseil militaire du pays. Et les dirigeants de la société civile n'était pas d'accord avec ses termes. Il dit que le Président Compaoré, le général Konaté, et le capitaine Camara a signé ce qu'on appelle l'Accord de Ouagadougou. Mais ce n'est pas correct. It is nonsense.
Le Premier ministre Dore a poursuivi en disant qu'il ne connaît pas les termes de l'accord entre le leader burkinabé et militaires de la Guinée. Ils peuvent donner leur propre opinion, dit-il, mais les groupes de la société civile n'étaient pas présents lors des entretiens de la semaine dernière au Burkina Faso. Donc, pour eux, ce n'est pas un accord jusqu'à ce que toutes les parties s'entendent. Selon Dore, les médiateurs devraient signer que des établissements en tant que témoin, une fois tout le monde est d'accord. Parce que la société civile de la Guinée n'a pas encore donné son accord, M. Doré dit, il est un peu bizarre que le président burkinabé est d'appeler cette accorder une. Dore dit qu'il ne répondra pas à la question de sa candidature potentielle jusqu'à ce qu'il rencontre encore avec le général Konaté et les autres membres du gouvernement de transition une fois qu'ils sont nommés.
Dore insiste la transition pourrait être un mois ou il pourrait prendre jusqu'à trois ans. Selon lui, il dépend du processus d'inscription des électeurs. Selon lui, le gouvernement de transition de travail pour relever le délai de six mois. Mais tout ne dépend pas du gouvernement. S'il n'y a pas d'argent, il faudra plus de temps. Il a également déclaré que le succès du processus électoral dépend de son organisation. Et cela dépendra aussi sur les moyens de l'organiser correctement. Si ces moyens ne sont pas disponibles, dit-il, la Guinée va continuer à lutter.