21 Janvier 2010
Les plus grandes réserves au monde: approximativement 40 milliards de tonnes (teneur en alumine de plus de 40%); totalisant les deux tiers des réserves mondiales, second plus grand producteur mondial après l’Australie.
Une usine d’alumine implantée à Fria produit à partir des bauxites 700 000 tonnes par an. Six nouvelles raffineries d’alumine avec un potentiel de 15 millions de tonnes par an doivent être construites pour un coût de $20 milliards d’ici 2012.
Deux gisements de fer de classe mondiale: les monts Nimba (1 milliard de tonnes avec une teneur en fer de 63% à 68%) et Simandou (plus de 2 milliards de tonnes avec une teneur en fer de 65% à 68%). La Guinée a des ressources de fer estimées à 9 milliards de tonnes.
Plus de 15 tonnes par an produites avec un potentiel de plusieurs centaines de tonnes. 500 tonnes de réserves prouvées et des ressources totales estimées à 1000 tonnes.
Potentiel estimé à 30 millions de carats. Les diamants représentent le quatrième produit d’exportation de la Guinée après la bauxite, l’alumine et l’or. Après l’interdiction des exploitations sans licences, les compagnies minières étrangères ont commencé à investir dans le secteur diamantifère.
Un potentiel significatif à explorer à la fois en offshore et en on shore. Le code pétrolier guinéen est en révision en ce moment.
Une Compagnie a reçu six licences d’exploration pour l’uranium et a débuté les forages dans le gisement prometteur de Firawa au sud de la Guinée en Mai, 2007. La Compagnie a l’intention de forer le gisement de Bohodou et d’explorer le gisement d’uranium de Sessé pendant l’année 2007.
D’autres sociétés ont aussi bénéficié de permis de recherche.
D’importantes réserves de calcaire, d’indices de Nickel, de titane, de graphite, de pierres précieuses, de cobalt, de zinc et de plomb ont été identifiées en plusieurs points du territoire national.
Le code minier guinéen datant de 1995 est en révision, le gouvernement planifie ’introduire une nouvelle convention minière et un nouveau code qui sont censés unifier et moderniser la taxation et introduire les concepts de développement intégré durable et la protection de l’environnement. Le gouvernement est également dans le processus de la revue des accords miniers existants pour les adapter aux concepts nouveaux de l’économie nationale et de l’environnement international.
Le Gouvernement de la Guinée s’est engagé dans l’amélioration de la bonne gouvernance et la transparence dans le secteur minier, à travers la mise en place des Conseils Préfectoraux de Développement (CPD) et son adhésion au Processus de Kimberley et à l’Initiative de Transparence des Industries Extractives (EITI). Le gouvernement s’implique dans la transformation des matières premières sur place pour une plus grande valeur ajoutée des revenus issus de l’activité minière pour assurer un développement social et économique de la Guinée sur les moyen et long termes.